La meilleure façon de limiter la présence des polluants dans l’air ambiant consiste, pour les sources, à en émettre le moins possible.
Lors des négociations internationales, les Etats ont été amenés à signer un certain nombre de conventions internationales et à prendre des engagements sur les sujets correspondants. Il s’agit là de réduire les rejets et donc de diminuer les émissions.
- convention de Genève (1979) sur la pollution atmosphérique à longue distance (lutte contre les pluies acides)
avec les protocoles associés:- Helsinki en 1985 (produits soufrés)
- Sofia en 1988 (oxydes d’azote)
- Genève en 1991 (composés organo-volatils)
- Oslo en 1994 (produits soufrés à nouveau)
- Aarhus en 1998 (polluants organiques persistants et métaux lourds)
- Göteborg en 1999 (effets de la pollution, acidification, ozone troposphérique, donc rejets de dixoydes de soufre, oxydes d’azote, composés organo-volatils, ammoniac)
- convention de Vienne (1985) sur la protection de la couche d’ozone (rôle des CFC, HCFC et halons en particulier)
avec le protocole de Montréal en 1987 - convention cadre de Rio (1992) sur les changements climatiques (émissions des gaz à effet de serre)
avec le protocole de Kyoto en 1997